La première phase du projet prend fin en avril 2011. Les résultats sont très encourageants. Le niveau de satisfaction des besoins élémentaires était très bas : alimentation insuffisante et peu variée, productions médiocres, pas d’accès aux soins de santé, isolement et marginalisation, …
- Accroissement des productions agricoles et d’élevage grâce à l’application des techniques acquises (compostage, lutte anti-érosive, agro-foresterie, élevage en stabulation, semences sélectionnées,…)
- Amélioration de l’alimentation en quantité (2 à 3 repas par jour) et en qualité (diversité alimentaire).
- Tous les « enfants Solives » sont scolarisés. Certains d’entre eux fréquentent même l’école secondaire, ce qui était impossible auparavant.
- Plusieurs familles ont déjà été relogées décemment grâce au projet.
- Les conditions de vie au sein de la famille se sont améliorées : meilleure hygiène grâce à la construction des latrines et à l’intériorisation de la propreté corporelle, tenues vestimentaires décentes, amélioration de l’entente au sein du foyer,…
- Rupture de l’isolement, resocialisation, reprise de confiance en soi et solidarité accrue entre les membres. Les « ménages Solives », autrefois marginalisés, sont considérés aujourd’hui comme des modèles, non seulement pour leurs activités de production, mais également en matière d’organisation, de structuration et de cohabitation pacifique.
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